samedi 13 juillet 2013

Non, je ne veux pas systématiser ! Mais quand même !

Du vécu par le narrateur ; pas de canular possible.

C'est le début de la fin !


Subject: Chronique Niçoise vécue

Chronique Niçoise vécue
 La semaine dernière, le Tour de France repartait de Nice pour une étape contre la montre par équipes. Comme la caravane publicitaire puis les coureurs passaient à une centaine de mètres de mon bureau, je suis allé voir si je pouvais récupérer un peu d’EPO ou un pot belge pour mieux grimper les cols de l’arrière pays.
 En fait, avant que les coureurs ne passent, je n’ai trouvé que de la haine et un rejet total de la France.

Il faut savoir qu’une partie de cette étape de 25 km passait devant le quartier des Moulins, une zone de non droit bien connue à l’ouest de Nice. Là, les femmes et les enfants étant d’un côté de la route et les hommes de l’autre, j’ai pu voir à quel point ces gens-là vomissaient la France.
 Ce fut d’abord à la caravane du Tour  qu’ils « s’en sont pris » en insultant copieusement les personnes juchées sur les deuch « Cochonoux » et qui distribuaient les produits de la marque… Les biscuits apéritifs « Belin » ont eu quasiment le même succès, si l’on peut dire …mais le plus fort restait à venir.
 Chaque équipe était précédée d’un motard de la Gendarmerie nationale et une voiture de cette formation fermait le convoi des coureurs et accompagnateurs. Eh bien, si nos Pandores ne savent pas que leur mère est une pute et qu’ils sont tous des gros pédés et des enculés, c’est qu’ils avaient d’efficaces boules Quiés dans les oreilles, et s’ils ne savent pas non plus comment on pointe le majeur, c’est qu’ils étaient aveugles. Pour compléter le décor, trois drapeaux algériens était fièrement agités devant les cortèges.
 De tout ça, pas la moindre image ni le moindre mot à la TV, et pas davantage dans les journaux…la police de la pensée veille au grain et ne veut pas que le Français moyen s’inquiète. Quant aux quatre jeunes gardiens de la paix que la Police nationale avait mis à cet endroit, ils n’ont pas réagi, ils étaient beaucoup trop mal à l’aise pour faire quoi que ce soit. C’était hallucinant !
 À part ça tout va bien, on continue à nous bourrer le crâne sur les bienfaits du multiculturalisme, alors crions en chœur « Vive la diversité ! »

 Si Charles Trénet revenait d’outre-tombe, certes il pourrait maintenant se marier, mais il ne chanterait probablement plus « douce France » mais plutôt « pauvre France ».

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