mardi 6 août 2013

Obama, transgenre, et dépenses publiques, trois sujets qui se conjuguent dans un même déni de réalité objective.

Par Lucien Oulahbib
Ces trois sujets se conjuguent dans un même déni celui de la réalité objective au sens où celle-ci, au-delà des différences d'approche et des mots pour les saisir, s'impose à tous comme l'air que l'on respire même s'il ne se voit pas.

Ainsi Obama avait juré avoir comme ennemi la seule Al Keida parce qu'elle n'aurait pas compris le "vrai" islam qu'Obama a rencontré. Al Keida ne comprend toujours pas. Et les USA, suivi par ses alliés, France comprise, se trouvent dans l'obligation de fermer au moins une dizaine d'ambassades. Obama persiste et signe. Un évènement aurait pu déciller ses yeux comme cela a été fait pour les miens très récemment alors qu'en matière d'islam je pensais balbutier quelques arguments critiques : Boko Haram et les Talibans (ce sont
eux qui m'ont aidé à trouver) détruisent des écoles et empêchent les filles d'y aller, mais ce non pas parce qu'ils seraient "obscurantistes" ou "anti-femmes" mais parce qu'ils veulent que l'on s'instruise dans le cadre d'écoles islamiques, point final. On apprend en lisant en commentant le coran et autres écrits ; puis l'on apprend certaines tâches dont la confection d'engins intelligents improvisés en attendant mieux. La séparation entre instruction et enseignement religieux est donc mis à l'écart, tout comme dans certaines écoles religieuses en France et ailleurs. La seule différence étant qu'il y a moins d'hypocrisie.

Par exemple en Algérie les écoles publiques sont en réalité des écoles islamiques déguisées d'où est d'ailleurs sorti le FIS dans les années 90. Et puis dans les pays démocratiques il existe un certain choix, quoique relatif puisque en France, et ce surtout à partir du Collège l'instruction est orientée à gauche voire à l'extrême gauche jusqu'à vouloir "éduquer" dans l'idéologie du transgenre pour nommer très strictement celle dite du "genre" qui prête à confusion puisque son idéologie consiste précisément à effacer les différences, et vous avez par exemple un "Laure" nouvelle dirigeant d'Act UP (voir la vidéo dans l'article de Libération du jour) qui est venue expliquer à la TV pourquoi son organisation avait ensanglanté le lieu de travail de la représentante de la Manif pour tous parce qu'elle ose ne pas condamner ce qui se passe en Russie. Un prétexte que je ne traiterais pas ici pour me concentrer sur ce "Laure" qui est bien l'un des prototypes de la machinerie postmoderne de fabrication d'une nouvelle espèce à base humaine certainement, mais qui à l'instar d'un kit est déjà propice à diverses adjonctions comme l'insertion non seulement de "plugs" divers comme le montrent les "cyber-artistes" mais sans doute aussi à terme de plusieurs orifices faisant office de "sexe" conformément à cette idéologie ; ("queer" est son nom "savant", je parle de tout ça dans mes livres qui avaient en effet sinon 20 ans d'avance comme un ami me l'a dit mais au moins quelques longueurs, je m'en aperçois de plus en plus).

D'où l'urgence de mettre à plat la notion de "dépense publique" en considérant que les sous sortis des impôts et mis dans cet enseignement, là, pis, dans cette "éducation", là, ne peuvent plus se réclamer du terme de "public" qui présuppose neutralité, instruction d'un savoir commun, et non pas inculcation dans des madrasas queers d'une idéologie se prétendant par ailleurs "scientifique" renouant ainsi avec les idéologies de l'homme nouveau de la race supérieure ; le terme "race" devant être également pris dans son sens métaphysique comme l'écrit Nietzsche (bégayé par Heidegger).

La notion de dépense publique est en fait perçu par les partisans étatistes (de toutes obédiences) comme étant la juste dépense, c'est-à-dire la dépense morale, alors que la dépense privée le serait bien moins, voire inique, pratiquement immorale,mais qui peut néanmoins entrer en rédemption en donnant beaucoup d'impôts, beaucoup.

Ainsi il ne s'agira pas de se dire qu'en permettant aux PME de payer moins de charges celles-ci travailleraient plus au lieu de fermer afin de ne pas dépasser le seuil qui alourdirait leurs finances. Or, travaillant plus, elles embaucheraient nécessairement, dégageraient des marges pour investir, ce qui insufflerait la recherche-développement, donc les finances des universités et des écoles technologiques. De même, les impôts rentreraient plus, ce qui permettrait de financer des enseignements plus généralistes, de donner des bourses aux enfants issus de milieux moins favorisés, etc, etc, etc.

Payer moins de charges cela veut dire verser un salaire complet aux salariés, du moins avec bien un tiers en plus qu'ils ne gagnent actuellement en partant d'un salaire brut ; les deux autres tiers issus de la part patronale étant partagés entre un investissement dans un fonds commun de solidarité, le dernier tiers étant supprimé. Le tout se faisant en pensant à une phase transitoire bien sûr.

La concurrence pourra aider à une émulation certaine, contrôlée néanmoins pour éviter les ententes illicites comme on l'a vu dans le mobile. Avec l'idée simple suivante : un docteur, une infirmière, un restaurateur, un enseignant, du secteur "libéral" n'est pas nécessairement un "profiteur" mais simplement un être libre qui ne veut pas qu'une instance lui dise que ce qu'il fait ne peut être possible que s'il est lourdement taxé. Cette affirmation est de plus en plus incompréhensible. Tout comme l'est l'affirmation es-islam d'Obama et l'affirmation es-humanité du trans-genre.

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