mardi 11 mars 2014

« Journée de la femme » ou journée de la gauche tarée ?

10 MARS 2014 par VIVIEN HOCH dans LA UNE, POLITIQUE, SOCIÉTÉ avec 2 COMMENTAIRES

La journée de la femme est une fête socialiste imaginée en 1921 par… Lénine – son nom exact est : « journée internationale des ouvrières » (voir Marxistes.org). L’occasion pour tout-e-s les militant-e-s gauchistes de pavaner dans la rue et d’exhiber toutes leurs perversions sous couvert de lutte pour les droits de la femme. 

La gauche tarée dans ses oeuvres

On connait l’attirance incroyable du gauchiste pour la sexualité sous toutes ses formes, notamment lorsqu’elles se déroule en public, et bien 7 militantes pseudo-femen ont pu s’exhiber nues, en toute tranquilité, au Louvre avec des drapeaux LGBTQ : 
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D’autres gauchistes sont plus fins, et n’ont pas besoin de se mettre à nu pour se ridiculiser. Ainsi une tripotée de stars
du show-bizz qui se sont peinturlurés les lèvres pour défendre la cause féminine, qui en avait bien besoin :
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L’abjection de Julie Gayet

À l’occasion de cette ultra-socialiste « Journée de la Femme », Lisa Azuelos a réalisé un court métrage intitulé « 14 millions de cris » pour prétendument dénoncer le fléau du mariage forcé qui toucherait 14 millions de femmes dans le monde. Pour cela, elle embauche Julie Gayet, sex-toys officieux de François Hollande, pour dénoncer les mariages forcés… chez les catholiques, blancs, aisés, avec un portrait du Christ en arrière-plan… 

L’explication de Lisa Azuelos vaut son pesant de non-argmentation :
« Je ne suis pas là pour braquer la lumière sur une population et dire regarder ce qu’ils font à leur femme. De plus, on a besoin de s’identifier pour être en empathie. C’est pourquoi j’ai choisi de tourner à Paris. Quand les gens vont voir ce film, ils vont ressentir quelque chose qu’ils ne pourraient pas ressentir si cela ne les concernait pas. C’est malheureux mais très humain. Mon métier en tant qu’artiste c’est d’interpeller les gens dans leur sensibilité. »
Je traduis : l’artiste nihiliste et si possible christianophobe est le grand-prêtre de la religion socialiste. On ne touche pas et on ne critique pas la fonction sacerdotale, qui arrive à toucher si profondément le peuple français…

LGBTQ et christianophobie publique

La marche des femmes dans les rues de Paris ne fut pas en reste au niveau de l’abjection. L’Observatoire de la christianophobie a relevé cette image dans les cortèges, assez colorés et LGBT-isés. 

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Ce genre de fête léniniste est ultra-socialiste dans son essence et totalitaire dans ses principes : il s’agit pour le pouvoir de décréter quand et comment faire la fête, célébrer telle ou telle chose, en bref, d’être contrôlé et bien orienté, comme un bon petit citoyen obéissant et républicain (et/ou patriote). L’orientation du dogme tend aujourd’hui à la christianophobie, à l’amoralisme et à la sexualité publique.
J’ai hâte de voir ce que ça va donner dans l’année prochaine. Entre temps, il y aura la Gay-pride, la nuit blanche, la techno-parade et autres festivals subventionnés. De quoi patienter… 

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