jeudi 17 juillet 2014

Un gouvernement qui comprendrait ça, gagnerait sans doute !

    José Piñera : “J’ai toujours pensé que les salariés sont plus concernés par les problématiques qui touchent directement à leur quotidien, telles que la retraite, l’éducation et la santé. Ils prennent leurs décisions pour assurer le bien-être de leur famille, et non en fonction d’allégeances politiques ou d’idéologies collectivistes. La leçon ultime de l’expérience chilienne est que seules aboutissent les révolutions qui font confiance aux hommes et aux exploits dont ils sont capables, à condition de les laisser libres d’agir”.

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