mardi 30 septembre 2014

TERRORISTES : LA GUERRE DE MOUVEMENT EN 4X4 CANNIBALISÉS!

30 septembre 2014

Chef-d’œuvre en péril

Après des années d’illusion, les Français ont compris – dans la douleur – que la dette publique n’était rien d’autre que de l’impôt différé. Quand prendront-ils conscience que le « trou » de la Sécu tient moins de l’accident conjoncturel que d’une faillite annoncée ? La liste de nos lâchetés est longue comme une mauvaise ordonnance : croire que si la santé n’a pas de prix, elle n’a pas davantage de coût ; penser que le temps, c’est-à-dire un hypothétique retour de la croissance, suffira à transformer les dérives passées en mauvais souvenirs ; se convaincre qu’il sera possible de transférer ad vitam aeternam les charges de nos inconséquences sur les générations futures…
Cas unique en Europe, le déficit de la sécurité sociale sera donc supérieur à 10 milliards d’euros en 2014, comme en 2013, comme en 2012, comme en 2011, etc. Et personne n’est là pour rappeler que dans tout système assurantiel juste et pérenne, les cotisations doivent finir par couvrir les prestations… Pour préserver ce chef-d’œuvre en péril de l’Etat providence, nos dirigeants n’ont eu de cesse de jouer aux apprentis sorciers, de bricoler l’usine à gaz, de raboter le totem, de créer des monstruosités fiscales, fruits du génie français pour l’escamotage. Résultat, le régime général devient petit à petit un régime par répartition dévoyé, à rebours de la solidarité habituelle : les jeunes paieront demain pour le refus de vraies réformes des assurés actuels, en sachant qu’ils ne bénéficieront pas, eux, des « largesses à crédit » de leurs aînés. Comment dès lors ne pas prévoir que le ras-le-bol social n’emporte un jour le « modèle » ?

lundi 29 septembre 2014

Chrétiens d'Orient | Que faire ?




Chrétiens d'Orient  |  Que faire ?

Nouvelle Rencontre de l’Institut Thomas More  |  Jeudi 2 octobre 2014, 8h30-10h
En partenariat avec HEC Alumni  |  Restaurant Le Procope, Paris




Comme d'autres minorités de la région, les Chrétiens subissent aujourd’hui des violences et des atrocités insoutenables en Syrie et en Irak. Leur situation est chaque jour plus périlleuse et leur avenir dans la région est en jeu. Au-delà de l’indignation et de la colère, au-delà de la solidarité qui doit jouer à plein, que faire ? Les soutenir spécifiquement ou agir en faveur de toutes les minorités ? Quelles conséquences auront les actions militaires entreprises par la coalition internationale contre

Merci Mario

Les chiffres sont si astronomiques qu’on peine à les appréhender. La dette publique de la France, qui était de 1 000 milliards d’euros en 2003, a franchi les 2 000 milliards aujourd’hui. Faut-il rappeler qu’en 1980, en équivalent euros, elle était inférieure à 100 milliards ? Et pourtant, la France continue à augmenter ses dépenses publiques et bafoue, pour la troisième fois, les règles européennes visant à limiter le déficit budgétaire des Etats membres.
Aujourd’hui la France n’est ni en faillite ni en défaut sur sa dette. Elle peut même emprunter à des taux d’intérêt quasi-nuls et continuer à s’endetter comme si de rien n’était. Cet état de grâce, elle le doit d’abord à la Banque centrale européenne. C’est l’existence de la monnaie unique qui permet de compter sur la puissance économique allemande pour éviter l’écroulement financier des pays qui refusent de se réformer. Et c’est la BCE qui, par sa politique monétaire laxiste, génère un excès de liquidités qui ne demandent qu’à se placer dans la dette souveraine de la deuxième économie de la zone euro.
C’est bien cette abondance de cash qui permet de rendre indolore le coût du risque et d’anesthésier les marchés. Droguée à la dette, la France ne réalise pas qu’elle s’est placée sous une épée de Damoclès que le président de la BCE, Mario Draghi, tient dans ses mains. Le jour où, poussée par une remontée des taux aux Etats-Unis ou par un durcissement de la politique allemande, la banque centrale devra serrer les boulons, le réveil sera douloureux. Il sera alors trop tard pour se demander pourquoi on n’a pas réformé le pays pendant qu’on le pouvait. Et comme toujours ce sont les Français – du moins ceux qui payent des impôts – qui devront mettre la main au portefeuille.

Le Conseil des prélèvements obligatoires ignore le monde de l’entreprise et des contribuables


par 


« Le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) est chargé d’apprécier l’évolution et l’impact économique, social et budgétaire de l’ensemble des prélèvements obligatoires, ainsi que de formuler des recommandations sur toute question relative à ces prélèvements ».

C’est ce qu’on lit dans la rubrique « MIssion » du CPO. On peut aussi lire que « le Conseil est présidé par le Premier président de la Cour et comprend seize membres dont huit magistrats ou hauts fonctionnaires et huit personnalités qualifiées, le plus souvent issues de la société civile, désignées par les ministres chargés de l’économie et des finances, des affaires sociales, de l’intérieur, et par les Présidents de l’Assemblée nationale, du Sénat et du Conseil économique, social et environnemental ».
En regardant de plus près la composition du CPO renouvelé le 5 septembre dernier, on remarque qu’il n’y a aucune trace de la « société civile ». Sur les 16 membres, un seul

dimanche 28 septembre 2014

Obama est-il responsable de la situation en Irak?

Par Lucien SA Oulahbib 

Certainement. N'en déplaise à tous ceux qui n'ont de cesse de commencer tel un mantra l'amorce d'une réflexion en maudissant d'abord Bush fils et "2003". Or, c'est bien Obama et non Bush qui a interrompu le processus de stabilisation existant en Irak depuis le "surge" de 2008 en quittant l'Irak avec précipitation et en laissant tout le pouvoir aux shiites inféodés à l'Iran, ce qui a démantelé tout l'effort entamé par David Petraeus commencé sous Bush et gagné en faisant alliance avec les tribus sunnites.
C'est bien Obama et non Bush qui a laissé faire en Syrie en 2013, refusant d'armer les résistants dits "laïcs", et fermant les yeux sur le financement des groupes islamistes (dont l'ancêtre de l'E.I actuel) opéré par l'Arabie Saoudite et le Qatar aujourd'hui apeurés de voir leur pouvoir féodal vaciller sous les coups de boutoir d'un mouvement islamique parfaitement fidèles aux critères historiques de l'islam depuis le début, l'islam étant par exemple une religion de "paix" dans la mesure où l'on accepte de vivre sous son joug : "que la paix (de l'islam) soit avec toi" voilà ce que veut dire son salut et non pas cette pâle imitation du christianisme, certains imams parlant même "d'amour" ce qui est d'un risible sans pareille lorsque l'on observe le nombre infime d'occurrence en la matière dans leur texte sacré…
Que l'Occident soit à l'heure actuelle son défenseur intransigeant (à coup de drones également) en dit long non seulement sur son masochisme mais surtout sa prétention à transformer tout taureau radical en boeuf aseptisé. En tout cas il semble bien qu'il n'existe pas d'islam modéré comme il n'a pas existé de communisme modéré, à moins d'abandonner la dictature du prolétariat, ou la "charia" comme le veulent certains en Tunisie, au Maroc, en Égypte, au Yémen… Wait and see.
Enfin, il semble bien que le 11 septembre 2001 ne soit pas la conséquence de "2003" (jusqu'à preuve du contraire).
Et à ceux qui rétorquent qu'il aurait fallu ("yaka") construire des écoles des routes et des hôpitaux plutôt que d'envoyer des armes il se trouve que tout cela a été construit et a été immédiatement dynamité (comme au Nigeria) parce que "école" n'a pas du tout la même signification en islam et en terre judéo-chrétienne républicaine et libérale.
Par ailleurs si les Kurdes avaient eu leur État dès 1923 à la chute de l'empire ottoman, ou du moins s'ils avaient été armés aussi bien que l'armée irakienne, peut-être que les Kurdes ne seraient pas acculés à reculer sous les coups de boutoir des néo-wahhabites, créatures échappées du laboratoire saoudien, toujours sous la bienveillance américaine et…française… Mais nous ne sommes pas à une contradiction près…
Il est navrant de rappeler ces quelques vérités premières à de si éminents "experts".

Le 27/9/2014     

samedi 27 septembre 2014

LA TAQIYA… A LA FRANCAISE


Gabriel Lévy
27 septembre 2014

On ne dit plus « Etat islamique du Levant», mais quelque chose de moins compréhensible. La peur d’accorder à la guerre que nous menons la moindre connotation d’une guerre de religions !

Or, il ne s’agit pas d’une guerre de religions, mais d’un « choc de civilisations ».  Mais nos « élites » ont toujours nié la pertinence de cette théorie, à l’évidence par pusillanimité, car il est impensable qu’elles aient été stupides, mal informées, imprévoyantes.

Le concepteur de cette théorie, Samuel Huntington (1993) recense 9 civilisations différentes : occidentale, latino-américaine, africaine, islamique, chinoise, hindoue, orthodoxe, bouddhiste et japonaise. Il semble aujourd’hui que la civilisation islamique, ou une fraction plus ou moins importante de celle-ci, soit en conflit avec toutes les autres et dans tous les continents.
L’auteur se fonde sur une conception géopolitique simple. Depuis l’effondrement de l’URSS, les conflits ne sont pas causés par des clivages politiques (par exemple capitalisme versus collectivisme), mais par des oppositions culturelles qu’il appelle « civilisationnelles », dont la religion occupe (parfois) l’essentiel.
Il écrit : « Dans le monde multipolaire, les oppositions ne sont plus idéologiques, économiques et politiques, mais culturelles. « Les civilisations, en cherchant à répondre à la question « qui sommes-nous ? », se définissent en termes de religion, de langue, d'histoire, de valeurs, d'habitudes et d'institutions».
« Des groupes culturels se forment aussi bien à l'échelle nationale qu'internationale, modifiant considérablement la nature des relations internationales ». A l’origine de sa théorie, il remarquait

Comment se finance l’Etat islamique ?

Ecrit le 26 sept 2014 à 15:07 par Eric Martin dans Nos brèves
 
Selon les spécialistes, l’État islamique pèserait deux milliards de dollars. De fait, l’organisation terroriste est désormais une véritable machine financière qu’il parait difficile d’arrêter. Comment se finance-t-elle ? Comment a-t-elle pu s’enrichir à ce point ? Éléments de réponses :

vendredi 26 septembre 2014

La liberté individuelle se consume

La police étant d’une redoutable efficacité, comme on le voit ces jours-ci avec la guignolade du vol Djihad Air Istanbul-Marseille, le gouvernement a décidé de lui assigner une nouvelle et noble tâche : traquer les assassins en puissance qui fument en voiture en la présence d’enfants de moins de 12 ans. Ni l’aggravation continue de la délinquance, ni la mobilisation contre la menace terroriste intérieure ne seront suffisantes pour détourner les forces de l’ordre de cette nouvelle mission. On imagine assez bien la scène où quelques valeureux pandores sifflent un véhicule et son conducteur, cigarette au bec, pour vérifier l’âge des passagers sanglés à l’arrière. On voit comme si on y était le père ou la mère exhibant successivement permis de conduire, carte grise, attestation d’assurance et livret de famille pour tenter de justifier ses audaces tabagiques. Et l’on devine, à côté de la multiplication des radars, se déployer des brigades anti-clopes, sortes de BAC d’un nouveau genre.
Mais où s’arrêtera l’Etat ? Où fixera-t-on les limites de la liberté individuelle face à la déresponsabilisation permanente de chacun ? Quand la bien-pensance, mère de toutes les atteintes à la différence, sera-t-elle traquée et enfin remplacée par une société de confiance ? Que la cigarette soit un danger mortel, nul n’en disconvient plus. Qu’il faille davantage en faire prendre conscience et en restreindre la consommation en augmentant les prix ou en limitant son usage dans les lieux publics, nul ne le conteste plus. Mais entrer dans un lieu privé, la voiture, pour y mettre des détecteurs de fumée est un nouvel accroc à la liberté. Petit à petit, les espaces de libre arbitre se réduisent, grignotés par la société d’assistance. Pourtant, plus le collectif s’immisce dans nos vies, plus l’individualisme et le repli sur soi se renforcent. Terrible équation.

Santé, moeurs, djihadisme : la prégnance étatiste

Par Lucien SA Oulahbib 


Le rapprochement est osé, mais la concordance des phases s'effectue sans coup férir : d'un côté, l'État "Protecteur" produit un islam sur-mesure "au nom du vrai islam" pourtant aux antipodes de l'islam réel qui ne permet guère, sous son joug, effectif, la construction d'Églises, de synagogues et de pagodes  ; l'État Moloch s'approprie ainsi notre conscience (perception) esprit (savoir) âme (élévation) au nom du Bien (l'égalitarisme implicite); de l'autre côté, l'État prétendument "moderne et démocratique" produit un "modèle social" sur-mesure (et en faillite) au nom du Peuple, de l'Exact, du Malgré Vous : il veut fabriquer le Corps, le modeler à sa convenance en "genres" en variétés, mixtes, mixtures etc…afin de justifier son existence de Protecteur, disons-le, de Parrain,  de "mac" (in touch).
Cette essence précède l'existence (revenons plutôt à Platon qu'à Sartre ou Marx) : l'État veut rendre les paquets de cigarettes uniformes en les enveloppant de la même burka informe. De son côté l'islam, réel, dans ses versions les plus rigoristes veut rendre les paquets de gens uniformes en les enveloppant de la même allégeance. Tous deux ne jurent

jeudi 25 septembre 2014

Air France, le jeu trouble de l’Etat-actionnaire

Une fois de plus, démonstration est faite que la présence de l’Etat dans le capital d’une entreprise est source de problèmes. Ainsi chez Air France, le gouvernement a réussi en quelques jours à embrouiller un dossier déjà complexe, jusqu’à créer de fortes turbulences. La plupart du temps, l’Etat est un actionnaire inerte. Lorsqu’il est nettement majoritaire dans le capital d’une entreprise, il peut même devenir un actionnaire nuisible, de ceux qui exigent toujours plus de dividendes, toujours plus de distribution des profits. Qu’il soit inactif ou abusif, chaque fois qu’il ne s’agit pas d’une activité stratégique, l’Etat est donc un actionnaire inutile.
D’autant plus que, lorsque le temps se couvre, il est incapable de gérer sereinement les conflits. Sensible à l’opinion publique, il devient un actionnaire fragile. Là encore, le cas Air France et les messages contradictoires du gouvernement fonctionnent comme un triste

Le sondage que Sarkozy n’a pas lu

Ecrit le 25 sept 2014 à 6:55 par Luc Ruy dans Nos brèves
 
Tandis que Nicolas Sarkozy s’oriente vers la défense d’une politique de moins en moins à droite, les Français, et notamment les électeurs de droite, plébiscitent la ligne Buisson, voire même réclament un programme plus résolument de droite. Ainsi selon un sondageOpinionway pour le Figaro, publié le 19 septembre, ce sont 80% des sympathisants de droite qui attendraient un tel positionnement de l’ancien président. À noter que la proportion change assez peu si l’on prend en compte l’ensemble de la population française.
Capture
Le sondage a été réalisé auprès de 2252 personnes, représentatifs de la population française et âgés de 18 ans et plus, dont 676 sympathisants de droite (méthode des quotas).
En revanche le même sondage annonce 41% seulement des sympathisants de droite en faveur d’une abrogation dudit « mariage » entre deux personnes du même sexe. 15% néanmoins ne se

mercredi 24 septembre 2014

Chrétiens d'Orient | Que faire ?

Nouvelle Rencontre de l’Institut Thomas More  |  Jeudi 2 octobre 2014, 8h30-10h
En partenariat avec HEC Alumni  |  Restaurant Le Procope, Paris




Comme d'autres minorités de la région, les Chrétiens subissent aujourd’hui des violences et des atrocités insoutenables en Syrie et en Irak. Leur situation est chaque jour plus périlleuse et leur avenir dans la région est en jeu. Au-delà de l’indignation et de la colère, au-delà de la solidarité qui doit jouer à plein, que faire ? Les soutenir spécifiquement ou agir en faveur de toutes les minorités ? Quelles conséquences auront les actions militaires entreprises par la coalition internationale contre l’État islamique ? Comment agir sur le long terme pour obtenir des États une meilleure protection et plus grande reconnaissance ?

Pour en discuter, l'Institut Thomas More et HEC Alumni ont le plaisir de vous inviter à

Imbroglio autour de l'interpellation ratée de trois jihadistes présumés

Trois jihadistes français présumés qui auraient séjourné en Syrie devaient être interpellés à leur arrivée à Orly en provenance de Turquie. Mardi 23 septembre, une source au ministère de l'Intérieur a même annoncé ces interpellations, alors qu'elles n'ont jamais eu lieu. Les trois hommes ont en réalité atterri à Marseille sans être inquiétés. Francetv info revient sur ce raté et ses multiples rebondissements.

Acte 1 : une source au ministère de l'Intérieur annonce l'interpellation

En début d'après-midi, une source au ministère de l'Intérieur confirme à l'AFP une information donnée depuis quelques minutes par la chaîne i-Télé : trois jihadistes présumés ont été interpellés à l'aéroport d'Orly après avoir été expulsés de Turquie. Les trois hommes, parmi lesquels figurent le beau-frère de Mohamed Merah, avaient été arrêtés fin août en Turquie après un séjour en Syrie.
La source au ministère de l'Intérieur affirme que les trois hommes, dès leur arrivée en

Faire la guerre, c’est pas facile

Même si elle n’en est pas toujours consciente, la France est engagée dans une guerre de longue haleine contre l’islamisme radical. Une guerre dont elle n’est qu’un des protagonistes, une guerre qui s’enchevêtre avec d’autres conflits et lignes de rupture, mais une vraie guerre avec son lot de victimes, de violences et d’horreurs. Et, treize ans après les attentats du 11-Septembre, force est de reconnaître que le conflit n’en est qu’à ses premières phases.
Il est illusoire de penser que la France, qui a des intérêts séculaires dans le monde arabo-musulman et dont une part de sa population y a des racines, pourrait se réfugier dans l’isolationnisme, fermer ses frontières et détourner les yeux alors que le Moyen-Orient est en feu et que de vastes zones du Sahel se transforment en djihadistan. Mais il est tout aussi illusoire d’imaginer que parce qu’elle est l’un des très rares pays au monde doté d’une armée

Article émouvant autant que savant d'un Kabyle à ses frères de Kabylie !

Kabyles: j’irai cracher sur vos tombes

Par Lucien SA Oulahbib 
Vous avez deux choix : soit continuer à vous soumettre aux arabo-musulmans en épousant leur dernière créature apparue sous la forme des "soldats du Califat" et j'irai cracher sur vos tombes, je maudirais vos ancêtres jusqu'à la première génération, je souillerai aussi votre soumission au 1er Novembre 1954 qui a créé ces monstres ; soit vous vous relevez enfin et renouez avec la grandeur d'une Dihya en dénonçant ces traitres qui ont fait prisonnier un cousin en souffrance, cousin parce que le français descend du latin que parlait vos ancêtres, Augustin, Apulée, ils l'avaient même embelli alors que vous n'avez fait que l'appauvrir en adoptant la langue et la religion de l'ennemi qu'il a imposé par le cimeterre (l'animisme, le judaïsme et le christianisme n'ont été imposé par personne, Rome était païenne jusqu'au 4ème siècle).
Si vous choisissez la première solution, si vous choisissez de persister dans la honte et la perfidie, si vous choisissez de vous soumettre à nouveau cela prouvera bien que vous n'êtes rien d'autre que des paillassons, des m….s, du chiendent, incapables dans ce cas de comprendre que vous avez été trompés, que vous vous trompez, volontairement, ce qui est pis bien sûr, alors que l'islam n'a rien à voir avec Jésus comme ces chiens le prétendent, que leur croyance ce n'est rien d'autre qu'un paganisme odieux, vulgaire, haineux, malgré quelques odes (mais quel peuple n'en a pas ?) qui ose se réclamer outre Jésus de Moïse, Abraham alors qu'il n'en est que le parasite diabolique, malin, oui, évidemment, très politique, sûr, capable d'allier des matériaux opposés, de séduire, oui, comme l'était Belzébuth, ou alors Baal, qui a pu faire des choses, certes, mais vos ancêtres ont fait mille fois mieux, alors que l'islam n'est qu'une déviation du judaïsme et du christianisme, un leurre soumettant l'humain qui a été fait libre (Gen, II, 19). Cet islam est une herbe folle qu'il faut arracher jusqu'à la racine si l'on ne veut pas seulement en "couper le gazon". Puis il faut labourer, écraser, écrabouiller, talon à la tête et touiller, touiller pour supprimer les scorpions qui restent.
Kabyles, vous êtes à vomir. Je me vomis donc moi-même puisque je le suis, une énième fois, la première fois quand Aït Hamed a rendu les armes (et j'aurais dû aller le lui dire un jour à St Denis lorsqu'il a osé faire lever la salle pour célébrer ce jour maudit de 1954 qui a été le début du "djihad" comme l'a bien montré le film de Jean-Pierre Lledo), une seconde fois quand ce fut des journalistes dits "algériens" qui furent à la base de la tuerie du commandant Massoud. Ce dernier crime, je crois a été le début du commencement d'un profond rejet de cette arabétisation qui vous éteint, vous êtes sortis de l'Histoire mais vous tentez de vous y maintenir en zombies, partez ! ou alors levez-vous et battez-vous repentez-vous tels ces bataillons perdus du Seigneur des Anneaux qui se rachetèrent et ainsi purent récupérer leurs âmes. Mais avez-vous encore une âme ?…

mardi 23 septembre 2014

Lettre ouverte de Nicolas Sarkozy aux Français qu’il a déçus Ou ce que devrait dire l’ancien président

Mes chers compatriotes,
L’heure est très grave. La France ne cesse de s’enfoncer dans le marasme économique et social. Nous battons des records de taux de chômage et nos entrepreneurs fuient le pays. Le système éducatif s’effondre alors que les dépenses publiques et les prélèvements obligatoires n’ont jamais été aussi élevés. Les socialistes ont clairement montré leur incapacité à réformer le pays. Mais le temps des constats et des diagnostics est largement révolu. Nous savons ce qu’il faut faire. C’est pour cette raison – et uniquement pour cette raison – que j’ai décidé de revenir en politique avec pour objectif principal de gagner les élections présidentielles de 2017. Je veux agir. C’est pourquoi cette Lettre est adressée surtout aux Français que j’ai déçus durant mon premier mandat.

Je vais d’abord suivre les conseils de Jean-François Revel qui écrit, dans son essai L’Absolutisme inefficace (Plon, 1992) : « Si l’on réfléchit aux qualités que doit réunir

La France devrait écouter Angela Merkel

Manuel Valls peut mesurer toute la schizophrénie de sa politique. Pour obtenir la confiance de l’Assemblée nationale, il a dû renoncer la semaine dernière à toute réforme un tant soit peu ambitieuse ; pour gagner la confiance d’Angela Merkel, il a promis lundi de faire les réformes que l’Allemagne attend. Qui la chancelière doit-elle croire, le Manuel Valls de la semaine dernière, ou celui de cette semaine ?
Il se trouve que la dirigeante allemande travaille avec des conseillers qui maîtrisent le français à la perfection. Ils lui ont rapporté ce que Manuel Valls a proclamé mardi dernier au Parlement, et ce que François Hollande a expliqué jeudi en conférence de presse : à savoir que la France ne reviendrait ni sur les 35 h ni sur le smic, qu’elle ne toucherait ni au nombre de fonctionnaires ni à l’âge de la retraite, et que l’Allemagne en revanche devait « prendre ses responsabilités » pour la croissance en Europe.
Comment la chancelière pourrait-elle, dans ces conditions, donner quitus à Manuel Valls, valider le nouveau dérapage des comptes publics français et s’engager dans une relance par l’investissement ? Quel crédit pourrait-elle accorder à une France allergique à la réforme, à un gouvernement français qui lui renvoie l’austérité à la figure dès qu’elle exige un minimum de discipline budgétaire, à un pays qui est à la fois un partenaire incontournable et une source d’inquiétudes vertigineuses ?
Angela Merkel a raison d’attendre de la France qu’elle se réforme et qu’elle respecte ses engagements. Elle est même, pour cause de transition entre deux Commissions à Bruxelles, la seule en Europe à pouvoir le réclamer de manière crédible en ce moment. Nous devrions lui en être reconnaissants.

Fiscalité : la grève des créateurs de richesse

Ecrit le 22 sept 2014 à 8:45 par Eric Martin dans Nos brèves
 
C’est une fois de plus l’incohérence la plus totale en matière de fiscalité avec la suppression de la première tranche des impôts, cadeau que les classes moyennes et aisées vont devoir supporter. Si ce n’est pas de la confiscation et une énième incitation à travailler moins pour payer moins d’impôts ! Pour Marc Fiorentino, c’est un véritable appel à la grève des créateurs de richesse alors que plus de la moitié des foyers fiscaux français ne participent pas à l’effort commun vial’impôt sur le revenu. On est en plein dans La Grève (Atlas Shrugged) de Ayn Rand :