mardi 21 novembre 2017

« On ne savait pas »:suite…

Par  Lucien SA Oulahbib
Holodomor, suite de la terreur rouge

Massacre des harkis, terreur islamo-nationaliste suite

Certains à gauche et à droite s'offusquent de voir des mouvements dits "d'extrême-droite" monter en puissance. Sauf que ceux-ci s'affirment pour défendre non le passé fasciste ou nazi, du moins en majorité, mais l'avenir de leur peuple qu'ils pensent en danger du fait de multiples facteurs bien connus allant de l'immigration à la désindustrialisation en passant par la destruction de la culture de la langue et des singularités homme, femme, famille avec père et mère. Or, au lieu de critiquer l'ampleur qu'ils peuvent exagérément donner à certains de ces facteurs, ceux qui les diabolisent oublient déjà leurs propres crimes bien plus évidents puisqu'ils les légitiment encore en Algérie, en Russie, tout en ne répondant ensuite en aucune manière aux questions posées par les peuples inquiets….
Voilà le hiatus: au-delà de savoir si ces courants dits "souverainistes, néo-fascistes,
populistes" ont raison ou pas quant à leurs solutions, la façon de les dénigrer, d'emblée, en leur jetant tout de suite à la figure les millions de morts d'il y a soixante dix sept ans, est d'une hypocrisie des plus criantes, surtout lorsque ceux qui les accusent sont eux-mêmes encore dégoulinant de sang, innocent qui plus est.
Aussi quand en France certains gaullistes s'offusquent des propositions d'alliance du FN au nom des crimes nazis, alors que ce dernier n'y est formellement pour rien, oublient, eux, que leurs factions ont encore les mains directement ensanglantées de ce sang harki et européen décidément difficile à effacer ; ne parlons pas de la gauche qui a soutenu les millions de morts de la terreur rouge léniniste stalinienne maoïste polpotiste jusqu'à tout récemment encore, allant encore jusqu'à nier que cela s'est passé ainsi : les films, livres (avec Goncourt) pullulent sur le nazisme, il y en a bien moins sur la terreur communiste et national-musulmane qui continue encore, relançant même l'esclavagisme (en Libye) comme dans les premiers temps de l'islam.
Quand des centaines de milliers de juifs ont été expulsé d'Irak, d'Égypte, de Syrie, de Libye, d'Algérie (alors qu'ils étaient là bien avant l'invasion arabo-musulmane) personne n'a bronché, et personne ne dit toujours rien, omerta là encore au même titre que les massacres communistes, toujours niés en tout cas mondialement : où est leur Nuremberg ?.

Or, il faudra bien crever l'abcès si l'on veut préserver la paix civile : car plus l'omerta continuera sur ces questions, plus les nouvelles générations issues d'Afrique du Nord élevées au biberon de la "France génocidaire"d'une part, de la "Russie des "blancs" responsables à eux seuls de la terreur rouge défensive" d'autre part, plus ces deux falsifications historiques créeront via les idéologues des Nuit Debout et des médias (mis à) part tout un flot de terroristes rouges et verts de salon (pour l'instant) en passe de faire fusion aujourd'hui comme on le voit avec l'alliance Plenel-Ramadan, sans parler des Filoche-Besancenot, et autres filiales palestinistes toutes prêtes à basculer dans les nouveaux pogroms de masse lorsque l'affrontement final entre khomeynistes et démocrates israéliens, mais aussi nord africains égyptiens, Kurdes, déclenchera l'étincelle d'ici peu, prélude à la mise à feu en Europe même sur tous les problèmes latents couvant depuis des lustres, la ruse de l'Histoire n'attend pas les fausses Minerve.

Aussi il est devenu de plus en plus insupportable d'entendre toujours hurler comme seule réponse aux problèmes objectifs actuels (place de l'immigration de guerre fuyant l'islam réel encensé pourtant en Europe et aux USA, rôle des élites rouges vertes et gaullistes pour détruire les nations populaires soucieuses de préserver leurs acquis civilisationnels) les cris d'orfraie "anti-fascistes", des plus indécents, de ceux-là mêmes qui ont toujours du sang sur les mains et même s'en vantent : le De Gaulle de 1962 n'a rien à voir avec le De Gaulle de 1940, et s'en réclamer aujourd'hui comme se réclamer de Lénine contre Staline, de Robespierre contre Danton, de Napoléon 1er contre Bonaparte, et plus près de nous  d'Obama contre Trump, Macron contre Orban, revient toujours à détourner la charge de la preuve, tout en se déchargeant sur un bouc émissaire : les générations nouvelles de patriotes qui précisément ne veulent pas continuer les erreurs de leurs aînés à la différence de ceux qui les clouent ainsi au pilori alors que ces derniers veulent eux par contre les poursuivre et même les amplifier ces erreurs qui nous ont mené précisément où nous en sommes puisque jusqu'à preuve du contraire ce sont eux qui sont au pouvoir depuis 1945.
Il faut donc tout revoir, tout remettre à plat, sans pour autant basculer dans la table rase ou, ce qui revient au même, la nostalgie d'un passé glorifié alors qu'il nous a mené, répétons-le, où nous en sommes, là, c'est-à-dire, nulle part, au-delà des illusions du progrès technique qui lui n'y est pour rien dans cette histoire en ce sens qu'il ne suffit pas de se réfugier derrière lui pour justifier l'appel à la disparition de l'altérité au profit de l'uniformisation, même marchande, même mâtinée du sourire fluo électronique bio-numérique made in Monroe.
Car c'est bien là l'essentiel aussi : les mêmes qui crient au loup fasciste refusent avec fureur de voir les peuples s'offusquer de se voir disparaître par des euthanasies diverses et douces bien sûr. Suffit-il cependant d'appeler tout ceci un "grand remplacement" pour faire avancer la compréhension concrète de ce processus complexe d'implosion en profondeur tout en maintenant en surface telles les restaurations historiques actuelles, quelques façades encore démocratiques ? Il ne semble pas.
Cela ne sert à rien d'agrandir démesurément le problème complexe de la fuite actuelle des populations issues de l'islam réel au lieu de s'attaquer à ceux qui permettent à celui-ci de prospérer. Fallait-il alors refouler les "boat people" issus du carnage communiste ? Le problème est mondial, onusien, voilà là où il faut se battre. Tout en assimilant, intégrant, tous ceux qui le veulent, tout en protégeant les équilibres ethniques aussi, parce qu'une France de cent millions d'âmes doit être à notre portée en tant que pivot européen, maintenant que le Royaume Uni, l'Espagne, l'Allemagne, l'Italie, sont en passe d'imploser si les forces centrifuges postmodernes l'emportent alors qu'elles n'ont pas encore gagné la partie en France.Tel est l'enjeu. Semble-t-il…


Le 20/11/2017     

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